mardi 1er janvier 2013, Manifestation de réoccupation! |
Demonstration to reoccupate! |
Mise au point sur l’appel à réoccuper en cas d’expulsion |
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Cet été, Vinci lançait des procédures d’expulsion contre une dizaine de maisons et espaces de résistances installé-e-s sur la zone (ZAD) sur laquelle ils espèrent construire l’aéroport. Afin de signifier clairement qu’ils ne nous feraient pas lâcher de terrain, nous lancions en septembre un appel à date ouverte à une manifestation massive de réoccupation en cas d’expulsion. Depuis, les jugements des procès à Nantes et Saint-Nazaire ont laissé des délais variés aux espaces concernés : entre 2 mois et 1 an. Théoriquement, certains pourraient donc être menacées dès le 15 janvier. Nous ne pouvons présumer de ce que sera la tactique et temporalité des Vinci, Ayrault, préfectures et consorts pour dégager la zone et “passer les opposants au karshër”* (*comme le demandait finement Auxette, président de région PS, au préfet), mais nous voulons rappeler que l’appel à réoccuper en masse court toujours et que nous nous y préparons activement. |
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Cet appel à réinstaller un espace collectif d’organisation sur la zone ne doit pas signifier que la lutte contre l’aéroport entre aujourd’hui dans une phase d’attente défensive. Les actions se poursuivent cet automne (tractovélo, dépiquetages, rassemblements, péages gratuits et “visites” de locaux et de chantiers Vinci ailleurs en France…) et des initiatives larges et manifestations hors de la zone s’annoncent pour les mois à venir. Alors que les partis éligibles sont de toute façon d’accord pour l’aéroport, il est primordial, en cette période électorale, de montrer que nous pouvons gagner dans la rue et sur la zone menacée. |
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Face au mouvement, la machine répressive s’emballe avec des arrestations et inculpations systématiques sur les diverses actions et manifestations publiques. Des expéditions avec des dizaines de gendarmes sont menées pour venir chercher les opposants dans les bourgs alentours et sur la zone menacée. Une série de procès est annoncée de janvier à mars. Il est nécessaire, dans ce contexte, de montrer une solidarité à une échelle large et de ne les laisser isoler personne. |
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En ce qui concerne la manifestation de réoccupation: Le signal sera lancé depuis la zad suite à des expulsions des habitats et espaces d’organisation actuellement menacés. La date exacte de la manifestation sera alors spécifiée par communiqués, affiches et tracts et sur les sites de la zad et reclaim the fields. Nous vous invitons à contribuer à leur diffusion le plus largement possible et à organiser des soirées d’infos et des déplacements groupés. |
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Une assemblée publique sera convoquée rapidement autour de Nantes pour faire le point sur la manif et les autres réactions possibles. |
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Au-delà d’une manifestation, il s’agit avant tout d’une action collective qui gagnera en puissance avec une présence longue et active du plus grand nombre de personnes possibles. Prévoir la journée et plus pour maintenir l’occupation, continuer les constructions, et en faire émerger des idées pour la suite. Tou-te-s ceux et celles qui le peuvent sont invité-e-s à arriver dès la veille. Un espace de campement et de rassemblement sera proposé. |
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La manifestation de réoccupation sera convoquée à 11H, le 3e samedi après les expulsions. On invite à y amener des outils divers et variés, des bleus (ou vert on est pas sectaires) de travail, des instruments de musique, des sandwiches et de la détermination. |
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On appelle aussi dès maintenant à des soirées de soutien en vue de récolter un peu de sous pour la mise en place de cette action. Pour plus d’infos guettez zad.nadir.org A bientôt dans les rues et les champs. Des occupant-e-s de la zad + Reclaim The fields |
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Notre Dame des Landes – En cas d’expulsion |
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S’ILS NOUS EXPULSENT, ON REVIENT! |
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Manifestation de réoccupation pour re-semer, pour reconstruire… contre l’aéroport ! |
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Fourches, poutres, planchettes, clous et outils en main… |
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RDV à 11h près de la ZAD , le 4e samedi suivant une tentative d’expulsion. |
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Ni ici, ni à Khimki, ni ailleurs, Vinci dégage ! |
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Le 7 mai 2011, nous étions 1000 personnes à manifester fourche en main pour défricher ensemble une terre agricole à l’abandon. |
Il s’agissait d’aider à l’installation d’une ferme maraîchère qui contribue aujourd’hui à nourrir la lutte contre l’aéroport. Nous nous quittions en nous engageant à défendre cette ferme et les autres espaces occupés de la ZAD (“la Zone d’Aménagement Différé” où est prévue l’aéroport, devenue “Zone A Défendre”.) |
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Le 24 juin, Vinci lançait des procédures d’expulsion à l’encontre de 8 maisons occupées sur la ZAD, dont “Les Planchettes”, espace collectif d’accueil et d’organisation. |
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Le 10 juillet, des milliers de personnes, à l’appel de la coordination contre l’aéroport, affirmèrent par une fresque humaine “Vinci dégage !” |
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Le mardi 23 août, le président de la région Pays de la Loire, Jacques Auxiette, demandait au préfet “de passer au karcher” les occupant-e-s de la ZAD. L’appel à la répression la plus brute est sans ambiguïté, mais cela ne nous empêchera pas de résister, revenir et repousser. |
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Pour faire suite au 7 mai, des occupant-e-s de la ZAD, et Reclaim The fields, réseau de paysan-ne-s en lutte, appellent à une grande manifestation de réoccupation en cas d’expulsion et invitent tous les collectifs et groupes qui le souhaitent à soutenir cette initiative. Si le karcher policier arrive, nous voulons être de nouveau des milliers pour donner corps aux “Vinci dégage !” et revenir occuper la zone afin de continuer à empêcher concrètement les travaux. Cette manifestation se veut ouverte à une pluralité de formes et d’engagements. |
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Depuis quarante ans, les décideurs et bétonneurs planchent sur un nouvel aéroport à côté de Nantes, à Notre-Dame-des-Landes, pour parfaire leurs rêves voraces de métropole et d’expansion économique. La ZAD, c’est 2000 hectares de terres agricoles et d’habitats qu’ils veulent anéantir sous le béton. La résistance contre ce projet est au carrefour d’enjeux sur lesquels s’unir, croiser des problématiques et penser des stratégies communes. |
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À travers cette lutte, nous combattons l’alimentation sous perfusion, la société industrielle et son réchauffement climatique, les politiques de développement économique et de contrôle du territoire, les mégalopoles et la normalisation des formes de vie, la privatisation du commun, le mythe de la croissance et l’illusion de participation démocratique… |
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Les décideurs communiquent à tout va pour vendre leur projet et laisser croire qu’aucun retour en arrière n’est envisageable à ce stade. Car après 40 ans de lutte, les travaux préliminaires à la construction sont aujourd’hui lancés : forages pour les études de sol, expertises environnementales, qu’ils espèrent faire suivre cet automne de fouilles archéologiques et de travaux de défrichages pour la construction du barreau routier… autant de prérequis au bétonnage de la ZAD. |
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Mais les opposant-e-s sont loin d’avoir baissé les bras et les actions s’intensifient : opposition aux forages, perturbations des études d’impact de Biotope, occupations de bureaux et chantiers, péages gratuits, diffusion de journaux, etc, etc … En outre, depuis plus de 2 ans, au lieu que la ZAD se vide progressivement, au rythme des rachats et des destructions, la vie et l’activité s’y est redensifiée. |
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De nombreuses maisons laissées à l’abandon ont été réhabilitées et occupées, des cabanes ont été construites au sol et dans les arbres, des collectifs occupent des terres pour y faire du maraîchage. Des espaces de réunion, boulangerie, bibliothèque, gîte sont ouverts à tous et toutes. Ce sont plus d’une centaine de personnes qui occupent en permanence la ZAD, soutenues par de nombreuses personnes du coin et d’ailleurs qui s’y rencontrent et s’y organisent. Les occupations font partie prenante d’un mouvement qui prend des formes diversifiées. Elles ont entre autres permis, ces derniers mois, des réactions rapides face aux premières démarches entreprises par Vinci en vue des travaux. |
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En juin 2011, Vinci a entamé les procédures d’expulsion afin de se doter des moyens légaux pour expulser les occupant-e-s “sans droit ni titre” de la ZAD. Ils veulent aujourd’hui enrayer la croissance du mouvement, et pour commencer les travaux, il faut faire place nette : après l’expulsion des occupant-e-s “sans titre”, ils pensent passer aux locataires, propriétaires et exploitants agricoles. En parallèle, les pro-aéroport font tout leur possible, campagnes de presse à l’appui, pour isoler les occupants de la ZAD, tentent de diviser le mouvement et de briser les solidarités, et renforcent la présence policière au quotidien et la répression des initiatives collectives. |
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Malgré ce contexte, nous gardons en mémoire les victoires passées contre les projets mégalos, du nucléaire au militaire, comme au Carnet, à Plogoff ou au Larzac, et nous savons que cet aéroport peut encore être stoppé. Nous regardons de l’autre coté des Alpes où l’opposition à la construction de la Ligne à Grande Vitesse Lyon-Turin mobilise toute une vallée, où des dizaines de milliers de personnes empêchent les travaux. Nous nous préparons pour qu’ici aussi toute tentative de bétonnage desterres leur coûte cher. |
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Cet appel à manifester est une manière de signifier que les expulsions ne signifie en rien la fin de la lutte ; il permet également de se projeter dans des formes offensives collectives après de potentielles évacuations. C’est affirmer qu’ils ne peuvent militariser cette zone en permanence et la stériliser, et que, quels que soient leurs efforts, ils ne pourront nous empêcher de nous y réinstaller. C’est marquer la volonté commune de conserver le levier des occupations pour empêcher le projet d’aéroport. |
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Cette manifestation permettra, suivant les nécessités, la reconstruction d’espaces d’organisation collective, d’habitats ou encore la mise en culture de nouvelles terres. |
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Même si nous ne pouvons savoir quand ils lâcheront la cavalerie, nous lançons aujourd’hui cet appel afin d’anticiper une réaction rapide, et massive. Nous proposons de se retrouver le 4ème samedi après les premières expulsions – fourches, outils et poutres en main – pour reprendre les terres et reconstruire ensemble. |
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Outre cet appel à réoccupation, d’autres initiatives sont évidemment les bienvenues : actions de solidarité aux quatre coins de la France, présence lors des expulsions-mêmes pour obstruer l’opération policière… Et d’ici là, les initiatives pour empêcher l’aéroport continuent, et la vie sur la ZAD aussi ! |
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Infos pratiques : |
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– Guettez les infos ! Consultez régulièrement ce site, et d’autant plus en cas d’expulsion. La date et le lieu exact de rendez-vous seront précisés à ce moment là. |
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– Il sera possible d’arriver la veille de la manif, pour les derniers préparatifs et échanges d’infos. Amenez de quoi camper. |
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– On vous invite à rester sur place après la manif pour protéger les espaces réoccupés et continuer les constructions. |
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A l’appel de : Reclaim the Fields et d’occupant-e-s de la ZAD, Contact : reclaimthezad@riseup.net |
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21.01.12: Avis de tempête sur la ZAD, Nouvelles du front |
A notification about the storm/blizzad on ZAD |
Depuis les rendus des procès en septembre et octobre, la situation semblait claire : |
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les maisons dépendant de la juridiction de Nantes ayant présenté une défense (Rosier, Sècherie, La Saulce) bénéficient d’un délai jusqu’à novembre, celles ne s’étant pas défendu (Saint-Jean du Tertre, Le Pré Failli, La Préfaillite) sont expulsables depuis le 9 janvier les maisons dépendant de la juridiction de Saint-Nazaire (les Planchettes, Bel Air, la Gaité, le Tertre) bénéficient en revanche, de la trêve hivernale (jusqu’au 15 mars). Le juge a reconnu l’absence de voie de fait et constaté que « les immeubles et ses occupants ne sont pas en péril et que les biens ne sont pas destinés à un usage immédiat ». Quant aux terrains occupés sans maisons cadastrées, aucune procédure n’est en cours, ce qui ne veut pas dire qu’ils ne sont pas menacés d’expulsion ! |
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Cependant, depuis début janvier 2012, la pression monte : passage d’hélicoptères, rotations incessantes de patrouilles policières et même une brigade de « gestion de situation de crise » !!! Pire, les huissiers sont passés aux Planchettes, à Bel Air, à la Gaité et au Tertre pour signifier le commandement de quitter les lieux, « si nécessaire avec l’assistance de la Force Publique, d’un serrurier et d’un déménageur » De ce fait notre petite victoire juridique (il est très rare qu’un juge accorde la trêve d’hiver à des squatteurs) semble être remise en question. Ce passage d’huissiers ne tient absolument pas compte de la trêve accordée. Il est à craindre que la Préfecture, sans doute sous la pression d’AGO, bafoue également le rendu du juge en participant aux expulsions avant mars, ce qui serait de fait illégal. |
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Nous vous invitons à contacter la Préfecture pour les rappeler à l’ordre (ah ! ah !) au 02 40 21 20 40. |
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En l’absence de certitudes sur la date des expulsions nous nous tenons prêt-es à tout et vous invitons à faire de même. Nous lancerons un appel à soutien le moment venu et votre aide, sur la ZAD ou ailleurs, sera bienvenue et précieuse ! Et puis pendant ce temps, la vie continue sur la ZAD, n’hésitez pas à passer nous voir, pour nous rencontrer et mieux connaître le terrain. |
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Contre l’aéroport et son monde : solidarité active |
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21 janvier 2012, Préprogramme « 2012 sur la ZAD : fin du monde de l’aéroport … |
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13 février : rassemblement de soutien aux inculpé-e-s du 1er décembre à Nantes. |
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Fin février : cycle de projections autour de « luttes collectives contre des projets d’aménagement des villes et des vies » dans les villages alentours. |
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Du 5 au 10 mars : Substantifique moëlle : occuper l’espace, partager la terre et transformer la ville. Semaine de rencontres inter-luttes, inter-squats autour de l’espace, pour densifier l’archipel des différents lieux autogérés, faire converger les individus et les groupes, articuler les luttes et les espaces de liberté avec au programme des journées : discussions, ateliers et plus si offensivité. Pour le moment les thématiques sont : |
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– Urbanisation et villes invivables |
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– Luttes rurales et propriété collective |
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– Expulsions, répression, faire face à l’Etat |
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– Circuler dans un espace segmenté et contrôlé/migration et nomadisme Tout atelier, apport de matériel ou idées complètement géniales sont les bienvenues ! L’accueil se fera dans divers lieux habités de la ZAD et à partir du 4 mars aux Planchettes. |
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– Du 9 au 11 mars : Rencontres « convergences des luttes contre l’artificialisation des terres » invitation à tous les collectifs en lutte en France contre des projets destructeurs de terres (étalement urbain, LGV, THT, autoroutes, aéroport, zones industrielles et commerciales. …) |
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– 15 mars : Fin de la trêve hivernale, risque d’expulsabilité accrue de plusieurs lieux occupés sur la ZAD ?…. |
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– Samedi 24 mars : Manifestation à Nantes pour l’arrêt immédiat de l’aéroport ! |
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– Du 2 au 7 avril : Semaine artistique (concerts, ateliers, peintures, poésies, marionnettes). Si vous avez des bonnes idées, des pratiques, des arts, des passions que vous voulez partager n’hésitez pas ! Ce sera l’occasion de partager et d’apprendre des pratiques comme la sérigraphie, …autour d’ateliers musique, concerts ou autres. |
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– Du 9 au 15 avril : Semaine d’échanges et de partages de savoirs. Partage et apprentissage de savoirs et savoirs-faire : venez avec ce que vous savez et ignorez ! |
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A venir un jour ou l’autre : Manifestation de réoccupation ! à l’appel de Reclaim The Fields (réseau de paysan-e-s en lutte et pas seulement..) et d’occupant-e-s de la ZAD. Rendez-vous le 4ème samedi après une expulsion fourches,poutres et outils en mains pour re-semer, reconstruire. Contre l’aéroport et son monde ! Appel, tracts, affiches sur reclaimthezad.potager.org ou sur le site de la ZAD Contact : reclaimthezad@riseup.net |
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